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LE VOYAGE DE JéNORME
LE VOYAGE DE JéNORME
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20 septembre 2012

EN ROUTE POUR LE MASSIF DE NéOUVIELLE... Partie 1

C'est bien gentil tout ça, mais il faut à tout prix profiter des derniers jours de beau temps avant que le nuage de Fukushima, gavé d'ondes négatives dues à l'abus de l'utilisation des téléphones portables, nous pourrisse la santé parce que nous ne mangeons pas quotidiennement cinq fruits et légumes en pratiquant une activité physique quotidienne qui facilite le transit intestinal.
Quand soudain, ne voilà-t-il pas...

 

Allez, oooohhhhhh !!!! Faut y aller làààààààà !!!
On nous parle de crise, augmentation du prix du gaz, des clops, de l'essence, TVA, impôt, taxes, chômage, délocalisation, fermeture, caricatures, et Xavier Dupont-de-Ligonès il est où ???
Mais...mais... faut garder la pêche un peu quoi, merde alors !!!!
Hein ? Hein ? Hein ? Faut pas se laisser comme ça ! Hein ! C'est pas bien beau.


Tiens, prends exemple sur le Président des Français :

Ben ouais ! Hein ! Hein ! Hein !
Tranquiiiiillleeee quoi ! La patate quand même !
Eh, alors, bon !

 

Allez : faut sortir là !

 

Prendre l'air un peu !

 

C'est pas quand il fera -10° et que les paysages seront recouverts de neige qu'il faudra dire : "Ooooh, on n'en a pas assez profité cet été ! On aurait du faire plus de balades ! On aurait du faire plus de trucs ! Voir plus de gens !"

Non, toi lectrice, lecteur, saches que l'hiver n'est pas encore arrivé et qu'avant de te questionner sur quel cadeau il va falloir acheter à Noël pour la petite.


Tiens, une idée, là, comme ça :

 

Il y a encore du temps ! Il y a encore des choses à faire et à voir plutôt que de rester à tourner en rond dans ton appartement ou dans ta maison, tel un hamster...

 

Voilà ! Je suis bien content : j'ai réussi à caser toutes les vidéos à la con du moment. On peut donc aller à l'essentiel à présent.

Oui, toi, lectrice, lecteur, qui pense t'ennuyer chaque jour nouvea de l'année, pense aux mots de Pablo Neruda, s'il te plait...

 

LEOMAT~1
Photo : Pablo Neruda

"Il meurt lentement...
celui qui ne voyage pas,
celui qui ne lit pas,
celui qui n'écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.
Il meurt lentement
celui qui détruit son amour-propre,
celui qui ne se laisse jamais aider.

Il meurt lentement
celui qui devient esclave de l'habitude
refaisant tous les jours les mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu
Il meurt lentement
celui qui évite la passion
et son tourbillon d'émotions
celles qui redonnent la lumière dans les yeux
et réparent les coeurs blessés
Il meurt lentement
celui qui ne change pas de cap
lorsqu'il est malheureux
au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques
pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n'a fui les conseils sensés.
Vis maintenant !
Risque-toi aujourd'hui !
Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d'être heureux !"
PABLO NERUDA
 
 
OUI !
Et allons profiter des soldes chez Intersport avec cette incroyable offre de rentrée : pour tout survêtement vert pêche acheté en quatre exemplaires, le cinquième est à moins 50% ! Mais pourquoi se priver merde alors ?! Tous en survêt vert-pêche !!!!
 
Ohhhh,
calmons-nous et reprenons là où nous en étions,
c'est à dire nulle part.


Avec peu d'argent et de la motivation, il y a quelques bons bols d'air à prendre.
Par exemple, si tu te trouves, par exemple, là, aujourd'hui, tout de suite maintenant, dans une immédiateté proche du moment de l'instant présent...
BREF : si tu te trouves dans les Hautes-Pyrénées (65), tu peux effectivement te rendre à Aragnouet.
C'est d'ailleurs ce que nous avons fait avec Maître Arnaud, ami de rando, pas plus tard que le week-end dernier qui tombait justement un samedi-dimanche.

C'EST PARTI MON KIKI !

 

°                            °

C'est parti mon kiki
Signification : Façon de dire "on commence ou "on s'y met", encouragement pour inciter quelqu'un à se mettre à la tâche

Origine : Expression française du milieu du XXème siècle qui se base sur une rime intérieure pour bien marquer les esprits. Elle rappelle une autre expression adressée aux enfants pour les encourager, à savoir "vas-y mon poussin" et les deux ont le mérite d'utiliser comme métaphore des noms d'oiseau car le kiki dans la langue argot est un volatile. Selon d'autres interprétations, cette expression française était utilisée d'une façon ironique dans les aventures sentimentales. Dans ce milieu proprement dit, le kiki était l'amant ou le mari. Même les prostituées se servaient de ce qualificatif pour héler un client dont le nom leur était inconnu. De nos jours, cette expression se retrouve au niveau des travailleurs d'une entreprise comme un code pour signaler aux collègues un rendez-vous galant.     EXPRESSIONS FRANCAISES

°                            °

 

8h04. Réveil. C'est comme ça.
Je n'aime pas que le réveil sonne à des heures impaires ou à des heures finissant par 0. 8h00, c'est pas possible : c'est trop juste.
Quant aux chiffres impairs, je ne sais pas.
Maître Arnaud sort de sa mézanine, toujours avec une chaussette différente de l'autre, et vice-versa. Chacun ces tocs !
Café. Sons de radio. Coup de gants humide sur la tronche pour désambuer du vin rouge de la veille. Chargeons les quelques affaires, composées de chaussures de randonnée et d'une glaciaire jaune dans laquelle sont soigneusement disposés quelques tranches de jambon, pâté et deux bières. En ce qui concerne le rosé, ce n'est que plus tard que nous constaterons que nous l'avons oublié.
L'air matinal est frais. Le ciel est bleu.
Le boulanger-mobile du village s'est arrêté dans une rue avec son C15 pour taper la discussion avec une femme possédant un petit chien qui ne comprend pas ce qu'il se passe.
"Dois-je chier ici maintenant, ou dois-je attendre un peu que l'on rejoigne le parc, comme chaque matin ?", doit-il se demander.
La tenancière de la maison de la presse classe ses magazines, arrivés tôt.
Quelques passants, tous avec des lunettes, errent en silence, pour se rendre d'un lieu à un autre. Lesquels ?
Ah oui, au fait, nous sommes à Bedous et c'est de là que nous partirons aujourd'hui puisque, de toute façon, il faut bien partir de quelque part.

Un dernier regard sur cet éternel tag mystérieux se trouvant sous les halles de la mairie...
Bedous, tag (64)
...et nous prenons la route du massif de Néouvielle en passant par l'Espagne.

Vallée d'Aspe, ô vallée d'Aspe... Tiens, à la sortie du village, un habitant a attaché un couvercle de tajine à sa boite aux lettres... Oui, vallée d'Aspe avec tes multiples balades et randonnées !

              Du lac d'Estaens...
lac d'Estaens

...aux aiguilles d'Ansabère...        
IMG_1340

   ...en passant par Aguas Tuertas...
Aguas tuertas

...ou le chemin de la Mature !      
chemin de la mature

Tiens, justement, après avoir passé la légendaire Goutte d'eau et son bouc bleu, installé dans l'ancienne gare de Lescun-Cette-Eygun...

 

LA GOUTTE D'EAU

L'Humanité
Eric Pététin
Photo : L'Humanité

"Tous ceux qui aiment l'écologie et la liberté se souviennent plus ou moins du combat du Somport qui pendant toutes les années 90 fût la principale    lutte écolo du pays. Dans cette bataille entre les amoureux de la nature et les aménageurs du monde, la Goutte d'Eau, maison dans la montagne d'esprit écolo-libertaire, fût à l'origine de la résistance et toujours en première ligne face aux bétonneurs, aux forces de l'ordre et à la justice. Son engagement fût tel ( innombrables occupations de chantier, éco-sabotages...) que la répression s'acharna sur elle et réussit ainsi à écraser le mouvement en expulsant ses habitants en Octobre 2005.
Le préfet de l'époque, en bon serviteur de la République, envoya une entreprise pour enlever portes, fenêtres et vélux, et commettre d'autres dégradations de façon à rendre la maison inhabitable.
Pendant 5 ans, la vieille gare resta seule, ouverte à tous les vents de l'oubli et de la mort, tout en se faisant entièrement piller. Puis, en Octobre 2010, Eric Pétetin, l'Indien des Pyrénées qui fût à la pointe du combat avec 47 arrestations et 10 mois derrière les barreaux, et quelques Apaches ont décidé de réinvestir ce lieu mythique et de le faire revivre. Depuis le 25 décembre, ils squattent et réhabilitent la gare abandonnée sans eau ni électricité, et la maison est désormais habitable, prête à accueillir tous ceux qui le désireront."
LA GOUTTE D'EAU

 


Et puisque nous parlons de résistance, c'est à présent aux côtés du Fort de Portalet que nous passons...
                                                  fort de Portalet
...là où le Maréchal Pétain fut incarcéré, seul, cellule n°5, du 15 août au 16 novembre 1945 avant  de rejoindre sa prison de l'île d'Yeu ; puis sa tombe !
Tiens, d'ailleurs, pendant que nous y sommes, je ne peux m'empêcher de repenser à cette anecdote concernant les derniers jours du maréchal.

 

L'ANECDOTE DU JOUR

La merveilleuse histoire
du gâteau d'anniversaire
du Maréchal Pétain
gateau pétain
Photo : Paris-Match

"Si Daniel Filipacchi et Jean-Marie Perrier furent les ­inventeurs du terme “paparazzi”, c’était au sens noble du terme. Daniel ne manquait ni d’imagination ni d’humour pour obtenir des images exclusives. Comme à l’île d’Yeu pendant que, avec le journaliste Jean Roy, il attendait la mort du Maréchal. Il avait fait ­fabriquer un gâteau d’anniversaire en papier mâché dans le but de faire poser Mme Pétain soufflant des bougies. Au dernier moment, Jean Roy décida d’uriner sur le gâteau afin de lui donner une belle couleur. La photo fit la couverture de Match."  POLKA MAGAZINE

 

Aaaah, le Maréchal Pétain, figure emblématique d'une France hypocrite, survolée par de ces corbeaux avides de reconnaissance anonyme et de ces fidèles collaborateurs prompt à entretenir des réseaux étrangement inhumains.

ET HOP,
NOUS ENTRONS
DANS LE TUNNEL
DU SOMPORT

IMG_1619
...SEPARANT LA FRANCE DE PETAIN
DE L'ESPAGNE DE FRANCO.

 

Passage non loin de l'extraordinaire et mystérieuse gare de Canfranc...
                gare de Canfranc
...initialement construite pour être la seconde grande gare ferroviaire d'Europe,
et toujours à l'abandon aujourd'hui, depuis un accident survenu le 27 mars 1970
à proximité de la gare de Lescun-Cette-Eygun.
Cette gare fantôme propose des dimensions égales à celles de la gare de Paris-Saint-Lazare.

Avant de traverser Jaca, bien connue pour ses...  
Jaca, tag      
Tag différent de celui que nous avions pu croisé à Bedous. 

 

Après avoir longuement pris la route du Sud, nous nous dirigions maintenant plein Est en longeant la barrière pyrénéenne espagnole.

carte michelin JanovasLa Route Nationale 260 traverse la région du Sobrabre, secteur le plus dépeuplé des Pyrénées aragonaises.
Des forêts à perte de vue s'épanchent sur les montagnes, laissant entrevoir quelques bandes calcaires abruptes. Nous dominons les gorges de la rivière Ara et, par endroits, des ruines de villages atteignables uniquement par piste de terre de 15km, semblaient nous regarder désolées.

 

Là, sur la droite, dans les gorges, un de ces villages captait plus que les autres notre regard.
Il s'agit de...

 

JANOVAS

IMG_1623

Étrange village abandonné, fantomatique dont seules les ruines de murs sortent de ce paysage aragonais verdoyant en bordure de la rivière Ara.
Nous ne pouvions rester là à regarder sans nous aller voir de plus près en nous posant LA question : "Pourquoi ?"
La tenue actuelle remonte au milieu des années 1960.
Jánovas, Lavellita, Lacort et douze autres villages de la vallée de l’Ara, à la porte du Parc National d’Ordesa, ont été détruits dans les années 60 pour un barrage qui n’a jamais été construit. Les conflits d’intérêts entre l’administration et Iberduero, actuellement Iberdrola, qui allait vendre ses droits à Endesa, usufrutière du barrage, ainsi que les doutes quant à sa rentabilité retardèrent les travaux pendant des décennies. Leurs habitants furent pourtant obligés de s’en aller de force, parfois par la violence, comme lors de l’emploi de la dynamite pour détruire les maisons alors que des gens habitaient encore à Jánovas.

      JANOVAS AUTREFOIS...

Janovas
Janovas, 1950

Janovas était un village prospère. Regroupées, pour rechercher chaleur et protection, les maisons présentaient une grande unité architecturale. A proximité, les aires à blé et leurs paillers jouxtaient une succession de terrasses cultivées, entretenues au prix d'un labeur quotidien forcené.
Quarante familles habitaient là dans les années 60. De cet ancien village de quelques 200 âmes, il ne reste plus que des ruines ! Le projet de barrage, initié en 1917, a conduit à l'expropriation musclée (sous le régime franquiste) de tous ses habitants et à la destruction de toutes ses maisons.
Pourtant, le barrage ne fut jamais construit.

IMG_1624
Janovas, septembre 2012 

   JANOVAS, L'EXPULSION

Face au refus de céder des habitants et malgré les réclamations officiellement déposées, afin d'accélérer le processus, Iberduero s'en prit alors à l'école : la classe était au rez-de-chaussée, et le logement de l'institutrice au 2ème étage.

Janovas
L'école aujourd'hui

Cet appartement fut détruit alors même qu'enfants et maîtresse étaient en classe, supportant ainsi vacarme, poussière, chute de gravats, et profond sentiment d'humiliation et de mépris.
Le coup de grâce fut porté à l'école pendant l'été 1966 (cela faisait déjà 6 ans que duraient ces expropriations) : un employé d'Iberduero fracassa et arracha la porte de l'école, expulsa l'institutrice en la traînant par les cheveux, et évacua les élèves du local à coups de pied.
Non content de saccager les maisons, seuls biens familiaux possédés, souvent transmis de génération en génération, Iberduero détruisit également tout ce qui permettait à ces agriculteurs de vivre : sources et puits, champs et récoltes, potagers et vergers subirent à leur tour la foudre aveugle d'une entreprise qui a poussé l'inhumanité à un point de non-retour.

Janovas, rue principale (Espagne) 
 
L'ancienne rue principale du village

Et en cette période trouble de dictature franquiste, Iberduero ne fit pas de sentiment ! Pour "convaincre" par la force toutes les familles qui se refusaient à abandonner Janovas, on délogeait sans avis préalable les habitants, et on dynamitait leurs maisons. Ces personnes déracinées n'avaient alors d'autre possibilité que de se rendre chez des voisins dont la robuste maison de pierre tenait encore debout, jusqu'à ce qu'elle subisse à son tour un sort identique !

Janovas (Espagne)   Janovas, village détruit (Espagne)

Malgré toutes ces exactions, trois familles résistaient encore en occupant le village : dans le froid, au milieu de ruines, sans voisinage, sans électricité, sans passerelle pour franchir la rivière.
Un couple restera même sur le site jusqu'au 20 janvier 1984. L'épouse cultivait quelques lopins de terre et soignait quelques animaux pendant que le mari travaillait à l'extérieur du "village".
Ils résisteront ainsi près d'un quart de siècle à l'inutile folie destructrice conjointe d'une entreprise et d'une dictature, avant d'être définitivement expulsés par la police espagnole, la "guardia civil".

Janovas, tags sur mur (Espagne)

Un peu à l'écart des habitations du village, et les dominant, se dresse l'église San Miguel (St Michel). Édifiée selon le style roman au cours du bas Moyen-Age, elle fut reconstruite au XVIème siècle. Le porche roman (XIIème s) qui l'ornait a été déplacé au village voisin de Fiscal.

Janovas, clocher (Espagne)   Janovas, église 

Bâtiment ouvert aux quatre vents, ses fresques sont encore visibles dans la petite nef centrale. Remplies de paille, les différentes parties qui le composent servent d'étable aux troupeaux de passage ou qui viennent pacager dans le secteur.

Janovas, église, intérieur (Espagne) Janovas, église (Espagne)

     JANOVAS AUJOURD'HUI

Une vingtaine d'anciennes familles se réunissent annuellement dans le village, partageant leur repas sur ces tables en béton dressées spécialement à l'entrée du village, semant quelques parcelles de blé, reconstruisant quelques espaces communs.
Malgré plus d'un demi siècle de lutte (décision de construction du barrage : 1951), la même volonté anime ces anciens habitants. En 2001 le gouvernement espagnol a décidé d'arrêter définitivement le projet de réalisation du barrage ; le 7 juillet 2008 le tribunal a validé le processus de "reversión" des terrains ! La lutte contre l'oubli a payé...

D'après l'excellent site CAPAUSUD

 

Nous continuons. Un petit passage par la ville de Fiscal.
Oui, nous aussi, nous avons de suite pensé à la même chose : Contrôle.
Non pas le film d'Anton Corbinj sur la vie et mort de Ian Kevin Curtis, chanteur de Joy Division ; mais comme contrôle fiscal !
Observer ! Epier ! Scruter ! Médire ! Rumeur !
Le peu de temps que nous sommes restés ici, nous avons eu de suite l'impression que tout le monde observait, controlait, épiais tout le monde. 
"Regarde-le lui comme il fait mal son créneau !", "Et l'autre là qui va déjà chercher son pain !", "Elle a donc pas trouvé de travail, elle, qu'elle traine dans les rues comme ça !", "Non mais comment il est fringué lui !!!"
Il ne fallait pas rester plus longtemps dans les parages.

 

 

DANS NOTRE PROCHAIN EPISODE

Des interrogations, des interrogations ! En veux-tu en voilà et à base de pourquoi, comme "Y'a-t-il autant de villages fantômes en France qu'en Espagne ? Est-ce là une des raisons de la crise espagnole ? Et celle-ci ne touchera-t-elle pas bientôt la France ? Et, au fait, ce n'est pas du massif de Néouvielle dont on devait parler dans ce billet ?"

 

 

 

 

Commentaires
E
etonnant
Répondre
J
nonobstant le fait que ce soit bien joli tout ça, vous ne répondez en aucun cas à la question essentielle posée dans ce blog: POURQUOI ?<br /> <br /> merci de bien vouloir en tenir compte dans un prochain bulletin et tenter d'y répondre.<br /> <br /> <br /> <br /> bien à vous.<br /> <br /> <br /> <br /> Jean Luc Adonf.
Répondre