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LE VOYAGE DE JéNORME
LE VOYAGE DE JéNORME
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29 juin 2015

EN ROUTE POUR... le lac d'Aule !

Après avoir brillamment assisté au Festival de Contis, Maître Arnaud et Jénorme décident de quitter plage et océan landais pour se rendre dans la vallée d'Ossau et y retrouver montagnes et lac d'altitude béarnais. Leur choix s'est porté ce week-end sur l'intrigant lac d'Aule.
Quand soudain, ne voilà-t-il pas...

 

Allez, c'est parti !
Nous devons quitter le camping de Contis-Plage, sa vue imprenable sur le courant de Contis, son très-mini-golf et son Yellito pour prendre la direction des Pyrénées, et plus précisément de la vallée d'Ossau, et plus précisément de Laruns, et plus précisément du parking de Bious-Artigues, et plus précisément du lac d'Aule.
Nous ne savons pas grand chose de ce petit lac d'altitude, outre le fait qu'il se trouve à une altitude de 2042 mètres, qu'il a une profondeur de 12 mètres pour une superficie de 2,5 hectares ; qu'il faut normalement randonner dans la montagne pendant plus de 2h30 avec un dénivelé de plus de 800 mètres pour l'atteindre, ce qui représente aux environs de 6,8 km de marche. Ouais ben, finalement, on sait quand même des trucs, hein, alors, bien sûr, on est content.

Allez, c'est parti !
Oui, je l'ai déjà dit, mais c'est parce que nous ne sommes toujours pas partis.
Pour rejoindre la vallée d'Ossau depuis Contis-plage, ça ne se fait pas comme ça en claquant des doigts ; même si on roule en Kangoo et que Maitre Arnaud a installé une glacière électrique à l'arrière du véhicule.
La magie du Sud-Ouest, je l'ai toujours dit et je le dirai encore, c'est que nous poussons en très peu de kilomètres passer de la plage à la montagne. Mais, dans ce cas précis, comment passer de la plage de Contis-Plage au lac d'Aule ?

Regardons cette carte avec itinéraire
proposée par Google Maps.
Carte Contis Laruns

Que voit-on ? Eh bien, on voit que c'est pas simple. Il nous faut traverser la moitié du département des Landes, côté terre, pour rejoindre la vallée d'Ossau en passant, notamment, par les vignes de Jurançon. Soient 206 km que Google Maps nous invite à faire en 3h25. Nous ne savons pas si cela prend en compte les arrêts dans les petites auberges ou autres lieux insolites.

Allez, c'est parti ! Cette fois-çi, vraiment.
Contis-plage, Mézos, Ohnesse-Laharie, Morcenx.

HOP !
Traversée de la réserve naturel d'Arjuzanx
où l'on peut faire du water-cheval...
Arjuzanx, water cheval

...avant de traverser les terres landaises des sources miraculeuses,
comme à Arangosse et à Ygos-Saint-Saturnin...
Arangosse, notre dame des douleurs

Nous ne nous arrêtons pas. Nous n'avons mal nulle part. On tient plutôt la forme même.
Après les fontaines miraculeuses, la D57 nous emmène à Saint-Martin-d'Oney, bien connu pour son église, son lavoir et sa gare. Ensuite, c'est Campet-et-Lamolère, bien connue pour son église, son lavoir et sa gare. Puis voici Mont-de-Marsan, que nous prenons soin de contourner parce que les églises, les lavoirs et les gares, ça va bien cinq minutes !
La D854, puis la D351 nous amènent à Bretagne-de-Marsan. Nous aurions pu prendre un chemin plus court, mais cela nous intéressait de passer par un village landais dans lequel il y a le nom "Bretagne". Bien sûr, le village possède une église, mais nous ne sommes pas sûrs d'y avoir vu un lavoir e une gare. Par contre, il faut savoir que c'est ici que Jacques Pills, né René Ducos, est venu se retirer quelques années dans sa maison familiale avant de retourner sur Paris.Et là, tu me dis :
TOI : "-Ouais OK, très bien, pourquoi pas après tout. Mais qui est ce Jacques Pills ?"
Eh bien, voici :

jacques pills"Né à Tulle en 1906, René Ducos débute à Paris sa carrière de chanteur au Moulin Rouge où Mistinguett tient la vedette. Il met au point avec son acolyte Georges Tabet le numéro de duettiste Pills et Tabet, avec lequel ils écument avec succès toute l'Europe. Reprenant son indépendance, il devient le chanteur de charme des années 1940 et l'interprète idéal des chansons de Jean Nohain, comme Couchés dans le foin. Il épouse deux grandes vedettes de la chanson française Lucienne Boyer en 1939, avec qui il a une fille, Jacqueline Boyer, née en 1941 puis Édith Piaf le 29 juillet 1952 qu'il rencontre lors d'une tournée en Amérique. Il lui écrit une chanson "Je t'ai dans la peau", et Edith Piaf lui rend la pareille avec "Ça gueule ça madame". Jacques Pills et Edith Piaf se produisent successivement sur les mêmes scènes, Moulin Rouge en 1954 ou Olympia en 1955.
Après leur divorce en 1957, Jacques Pills ne renoue plus avec le succès de ses débuts.
De 1967 à sa mort en septembre 1970, il dirige le cours de music-hall de l'Olympia créé par Bruno Coquatrix."  BRETAGNE-DE-MARSAN

Très intrigués par la chanson "Couché dans le foin", nous décidions de l'écouter après quelques recherches musicales sur internet.

 C'est aux sons de cette chanson fort sympathique te de saison que nous poursuivons notre route. Petites routes landaises labyrinthiques qui nous font passer devant les bucoliques arènes du quartier de Bostens.

 

BOSTENS
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Et et et et ATTENTION, quelques mètres plus tard et sans dénivelé : première pause à Bascons où se trouve Notre-Dame-de-la-Course-Landaise.

 

BASCONS
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Cette chapelle fut probablement construite au XVème siècle après J.C.. Oui, après J.C., puisqu'avant on ne construisait pas trop de chapelle même à la gloire de la Course landaise, qui, elle, aurait des origines révélées dans un document daté de 1457 et qui fait état d'une coutume immémoriale de faire courir vaches et bœufs dans les rues de Saint Sever à l'occasion des fêtes de la Saint Jean. Mais c'est au cours du XIXème siècle  -toujours après J.C.-  que la course landaise devint ce qu'elle est aujourd'hui. Deux évènements majeurs la firent rentrer dans la modernité.
"Tout d'abord ce fut l'obligation de pratiquer uniquement les courses dans des lieux délimités et fermés entourés de gradins, et non librement dans la rue comme c'était le cas jusque là. C'est dans cet espace limité de l'arène que naquirent d'abord l'écart puis le saut, les deux figures artistiques de la course landaise. Ensuite ce fut, en août 1853, l'apparition du bétail d'origine ibérique qui se révéla plus apte que le bétail local à la pratique. Si bien qu'à la fin du siècle il n'y avait plus en course landaise que des vaches d'origine navarraise (carriquiri) et plus aucune landaise.
Pour compléter le tableau, c'est à la fin du même siècle que les toreros landais adoptèrent la tenue qu'ils portent toujours aujourd'hui : le pantalon blanc et le boléro de couleur agrémenté de paillettes d'or ou d'argent. La corde et le teneur de corde (courdayre ou cordier) apparurent à la même époque ainsi que les tampons au bout des cornes des coursières les plus dangereuses.
Le vingtième siècle pouvait commencer : tout était en place à peu près dans la forme où vous pouvez le voir aujourd'hui."
FÉDÉRATION FRANÇAISE DE COURSE LANDAISE

 

Nous avions assisté à une course landaise en avril 2009, du côté de Pomarez...


Nous faisons un petit tour de la chapelle dédiée officiellement à la Course Landaise depuis le 7 mai 1970.

Face à la chapelle trône ce mémorial...
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A l'intérieur de Notre-Dame-de-la-Course-Landaise, des statues et des vitraux rappellent que ce lieu est dédié à ce sport régional.

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Frontal de vache soutenant l'autel

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Statue en bois de la sainte Vierge et d'un écarteur blessé
par le sculpteur basque espagnol Martin Gallastéguy, d'après un dessin de François Meyney

J'emprunte le petit escalier, puis une échelle meunière permettant d'accéder aux deux cloches, encore actionnées à la main lors des cérémonies. La sonnerie de ces cloches est réputée dissiper les nuages porteurs d'orages et de grêle. Elle continue à être actionnée lorsque ceux-ci menacent.

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Je redescends pour sortir de la chapelle. A côté de celle-ci se trouve un musée dédié à la Course Landaise. Il est fermé aujourd'hui, mais propose habituellement, à travers un support audiovisuel, l’histoire d'hier et d'aujourd'hui de la course landaise et conserve les trophées et objets relatifs à ces jeux taurins.

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Un peu plus loin encore, un sentier nous fait découvrir l'Avifaune, observatoire naturel posté entre la retenue d'eau collinaire du ruisseau "des long" et une belle forêt verte.

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Ici, on dénombre une flore riche de plus de 49 espèces (arborescente, arbustive et herbacée) et d'une faune de 42 espèces répertoriées (colverts, hérons, grèbes, aigrettes, milans noirs,...).


On repart.
D406, direction Chaoupet parce que le nom est rigolo. Et PAF : seconde pause à Grenade-sur-Adour car le nom est rigolo aussi, et parce qu'il est l'heure de boire l'apéro, de manger un bout et de profiter, l'espace d'une heure, des fêtes de la ville.

 

GRENADE-SUR-L'ADOUR
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Bon, en fait, je triche. Les fêtes de Grenade-sur-Adour avaient lieu du 29 au 31 mai 2015, et pas le 22 juin. Mais nous y étions passés pour l'occasion.
Et contrairement à la photo ci-dessus, prise à l'heure de l'apéro-chaud, qui donne l'impression que les rues sont vides, il faut savoir que le monde était allé se mettre à l'ombre... Sauf la banda !

Oui, aux fêtes de Grenade-sur-Adour, il y avait du monde, c'était enjoué, conviviale et accueillant ! Et ça, vois-tu, cela fait aussi partie du patrimoine sud-ouestiste, landais, basque et béarnais. Le début du mois de juin marque le début des fêtes de villages ! Ces moments festifs où les gens se retrouvent dans les rues pour s'accouder à un comptoir d'estanquet en écoutant le monde, la musique ambiante, les bruits de village et les sons extérieurs. C'est aussi l'occasion de se poser à des grandes tables avec des gens que tu ne connais pas et manger quelques confits de canard ou autres en buvant quelques verres de Tursan.

Ça rigole ! Ça bataille ! Ça échange !
Ça débat ! Ça découvre ! Ça vit !


Et puis j'aime bien Grenade-sur-Adour ! J'étais jamais venu, mais "y'a des bonnes vibrations", comme dirait Céline Dion, ou encore "Je trouve qu'y'a une boune odeur !", préférant le chanteur Arno. 
Et puis le cadre est accueillant avec cette Adour qui traverse la ville en laissant des berges vertes, parcourues par un sentier agréable. Cette proximité avec le fleuve peut malheureusement aussi provoquer des dégâts, comme ce fut le cas en janvier 2014 lors des inondations.
Et puis parce qu'il y a ici une belle histoire de Résistance !

Pour rappeler les faits, c'était le 13 juin 1944, au cours d'une action des maquisards dirigée par maître Vielle, adjoint au maire, un important convoi allemand était intercepté aux portes de la ville infligeant à l'ennemi des pertes sensibles. En représailles, la population rassemblée sur la place publique et tenue sous la menace des mitrailleuses assistait, impuissante, à l'incendie de ses principaux édifices et à l'arrestation de cinquante otages dont bon nombre furent déportés.
Grenade-sur-Adour possède également son parcours touristique avec des panneaux indicateurs de monuments et de légendes, comme celui-ci :

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Et puis des commerces étranges, comme celui-la...
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Nous repartons...
Pas bien loin... juste histoire de traverser le pont qui enjambe l'Adour ... nous rejoignons le petit village de Larrivière-Saint-Savin où se trouve, entre autre, la chapelle Notre-Dame-du-Rugby.

 

LARRIVIÈRE-SAINT-SAVIN
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Après Notre-Dame-des-Cyclistes à La-Bastide-d'Armagnac et Notre-Dame-de-la-Course-Landaise à Bascons, il fallait passer à Notre-Dame-du-Rugby à Larrivière-Saint-Savin. Surtout que nous n'avons trouvé sur la carte Notre-Dame-du-Jokari et Notre-Dame-du-Curling.
Alors, à Notre-Dame-du-Rugby, qu'y'a-t-il à voir ?
Eh bien contrairement à Notre-Dame-de-la-Course-Landaise qui était assez épurée et contrairement à Notre-Dame-des-Cyclistes où on ne peut pas prendre de photos, ici, tout est calme et il y a plein de maillots ! Des maillots de rugbymen venus de France, de Navarre, d'Europe et du monde entier. Tant régional que national qu'international ! Tout se mélange et on cherche des connaissances : équipes ? Joueurs ? Résultats ? Exploits ? Vitraux ? Statues ? Lieu de dévotion et de respect pour ce sport, mais sans sacralisation. Un hommage à ce sport sain. Mais si... Y'a pas de Notre-Dame-du-Football, par exemple.

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Cette chapelle doit son origine à l’abbé Michel Devert, qui s'est beaucoup occupé de jeunes et de rugby. Il a eu l'idée de défricher cette chapelle en ruine et de la retaper pour en faire un sanctuaire et un lieu de prière lié à l'univers du rugby. Il met son idée en œuvre après le décès en 1964 de trois joueurs de rugby à XV de Dax dans un accident de voiture : Jean Othats, Émile Carrère et Raymond Albaladejo. La chapelle fut finalement inaugurée en 1967 par l'évêque de Dax, après plusieurs travaux de rénovation.

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Vitrail dessiné par Patrick Géminel               Statue Notre-Dame-du-Rugby réalisée par Pierre Lisse

 

Et nous repartons !
Retour sur D824. Ligne droite et...

Hop, arrêt pour pause selfy
devant ce restaurant routier au nom typique et rassurant :
chez Bibiche

Malheureusement, il est 15h30, il est fermé et, de toute façon, on a déjà bouffé. C'est un restaurant typique routier, simple et chaleureux apparemment. Aux heures d'ouvertue, il y est servi un menu à 12,5 euros avec potage, hors d'œuvres variés, buffet, 5-6 plats au choix + 2 légumes, salade, fromage, dessert, 1/4 de vin et café compris.

 

ON CONTINUE !!!!
Un peu plus loin, mais pas tant que ça, il y a le petit village de Cazères-Sur-L'Adour qui est le berceau de la "Marche Cazérienne", hymne de la course landaise.

C'est aussi ici que j'ai vu cet intrigant restaurant belge.
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Le billet de bienvenue se compose ainsi :
"On t'atin à not' barake ! Eul Chti Carré est sul place de Cazeres Sur l Adour. Les gens mingent toudis des Américains, mais on fait autes koses, des assiettes à embarquer avec deul sauce. Viens raviser et te verra ! Eul troupe deul chti-carré sera contin de vous accueillir !"
C'est ici qu'a eu lieu le 1er juillet 2014 le concours de mangeur de frites 2014.
Par contre, nous avons loupé le pont Eiffel qui enjambe l'Adour.

 

ON POURSUIT !!!!
Et d'ailleurs, on va accélérer un peu ! Aire-sur-l'Adour. Nous aurions pu nous arrêter dans l'église Sainte-Quitterie, classée aux monuments historiques depuis 1840, afin de voir le parait-il magnifique sarcophage de marbre blanc de la sainte, mais on n'a plus le temps !
Nous évitons d'emprunter l'A85 qui est l'autoroute la plus chère de France pour privilégier la D834 !
Saint-Agnet, Sarron, Boueilh-Boueilho-Lasque... Hein ?

panneau-boueilh-boueilho-lasque

Ah bon.
Lalonquette, Astis, Pau, Jurançon, Gan, Rébénacq, Louvie-Juzon, Bielle, Aste-Béon, Laruns.
C'est ici que nous passerons la nuit en réservant une chambre double dans l'hôtel d'Ossau, qui domine le centre-ville. Normalement, nous aurions du dormir à La Caverne, à Eaux-Chaudes, mais c'était déjà complet.
Avant de se poser à Laruns, nous décidons d'aller faire un tour à Gourette, histoire de voir quelle tronche a la station quand il n'y a pas de neige et que la saison touristique estival. Pour cela, il faut emprunter la route allant au col d'Aubisque.
Route thermale, construite grâce à l'impératrice Eugénie, femme de Napoléon III, qui souhaitait pouvoir relier les Eaux-Bonnes à la vallée d'Argelès et à ses différentes villes thermales qu'elle aide à promouvoir par ses nombreux voyages, elle n'était qu'un chemin jusque dans les années 1930. Elle fut ensuite goudronnée pour intégrer la route thermale allant d’Argelès-sur-Mer à Saint-Jean-de-Luz.

Une fois arrivé Gourette...
RÉSULTAT :
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Un commerce d'ouvert, pas de neige, pas grand monde et des brebis sur les pistes.

Du coup, on a  fait demi-tour pour nous rendre à... Eaux-Chaudes ! Eh ouais, encore ! Mais pas pareil ! Cette fois-ci, nous sommes allés au coeur de l'antre du village un peu fantôme sur les bords.

 

EAUX-CHAUDES
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DSCN5688Eh oui, Eaux-Chaudes, ce n'est pas qu'une route menant au col du Portalet, bordée de façades d'immeubles clos et dans laquelle il est interdit de charger du bétail.

 

 

 

 

Eaux-Chaudes, ce sont aussi des escaliers gris, menant à des bâtiments gris ou au gave d'Ossau ou à des sources un peu taries sur les bords.

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Eaux-Chaudes, c'est dix minutes de soleil par jour ;
une situation due à sa position géographique recluse.
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Eaux-Chaudes, c'est encore un pont qui bouge quand on marche dessus,
surplombant le gave d'Ossau ; ainsi que l'hôtel B...
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Eaux-Chaudes et des habitations pas banales, d'un autre temps. 
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Mais, à Eaux-Chaudes, tous les chemins mènent à La Caverne ;
auberge-hôtel-bar-restaurant coloré où il fait bon boire une bonne bière belge !
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Voilà. Bon, ben, c'est pas l'tout !
Il n'est pas loin de 20 heures. Ça sent la fin de journée.
Nous retournons sur Laruns avant de prendre la direction de Béost pour aller manger Chez Trey, à Béost où nous sont servis des plats simples et maison pour la modique somme de 12 euros, vin compris ! Chez Trey, c'est également un lieu de rencontres de la vallée d'Ossau : écoles, chorale, omelette pascale, soirée ossaloise,...
Sur ce, digestion, hôtel, dormir.

 

DANS NOTRE PROCHAIN ÉPISODE

Demain, nous prendrons la direction du lac d'Aule.

 

 

 

 

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