Coucher de soleil à Biarritz
Oooooh, il a beau faire frais !
Oooooh, les jours ont beau avoir raccourci !
Oooooh, ben !
C 'est avec ces mots simples en tête que je décidassiasses en ce 16 octobre 2009 de fin de semaine d 'aller faire un tour du côté du coucher de soleil de Biarritz.
Juste avant, je suis passé par quelques célèbres endroits du Pays Basque pour donner vie à un nouveau super Héros...
sUPERgRIPPEa
Son pouvoir ?
Avoir la grippe A...
Même quand il l 'a pas !
Mais bon...
Il faut également profiter de cette lumière d 'automne exceptionnelle en allant voir dehors un peu.
Ce soir, endroit choisi : le coucher de soleil sur le rocher de la Vierge à Biarritz.
Et figures-toi qu 'en grand angle, il ressemblait à ceci :
Emu et émotionné que j 'étais par une telle vision, je décidassiasses (encore !) d 'envoyer une photo de cet instant magique via Msg à plusieurs des amis de France et de Navarre, avec ce petit mot simple : "Ooooooo"
Quelles réponses allaient-ils pouvoir donner ?
Quelques minutes plus tard, voici !
CADAVRE EXQUIS DE SMS
Véro, Varennes-Vauzelles
"Pas d 'océan ici !"
Céline, Saint-Ouen-l 'Aumône
"Mon camenbert c 'est...
Paule, Roscoff
"Je ne vois rien encore !"
Mag, Pontarlier
"Ici, ça se couvre..."
W, sAiNT-OuEN-L 'AuMÔne
"Ouais ben... j 'y suis allé aussi !"
Ol., Anglet
"Chacun son truc !"
Steph', Calanque la Madrague
"Ouuuufffff !"
Pascale, Paris XVIIème
"Merki gamin ! Saucisson et cava !"
Pascal, dans sa cave, Gonesse
"Coucher de bouteilles"
Nick Canon, Limay
"Eh ben mes cadets !"
KK, Paris XVIIIème
"Salut bande de cons !"
Pierrot, Pub, Nevers
"As-tu ?"
Mélo, Chambéry
"Suis dans un tunnel !"
De retour à l 'appart, j 'ouvrais une bonne bouteille de pif en relisant les propos de Federico Fellini :
"Je ne sais pas comment a commencé cet abus de pouvoir de l 'homme sur la femme, comment est-on arrivé à la défaite de la femme ; mais je dois avouer que même les meilleurs d 'entre nous sont soit des érotomanes, soit des esthètes fatigués. Je ne sais pas ce qu 'est la femme. C 'est moi-même que je vois toujours dans les femmes, pour ma part, en ce sens que je projette sur elles mes propres manques. La femme représente ce que nous n 'avons pas, mais puisque nous ne savons pas ce que nous n 'avons pas, nos projetons sur elles notre obscurité." Federico Fellini, 1970